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Quand j'ai atterri la semaine dernière en Suisse,  c'était pour renouer avec l'une de mes anciennes grandes passions : le montage vidéo.

 

 

Olivier Aubert, le réalisateur de Coast to Coast, édite  actuellement son nouveau film avec talent et humour et  je me pince encore d'avoir eu le privilège de travailler quelques jours auprès de lui.

Qui aurait su prédir que j'allais un jour apporter mon appréciation et proposer mes modestes critiques sur le travail du réalisateur du film qui m'a emmené justement  à pousser la porte d'une école de pilotage !


Après toutes ces années à rêver et chercher une telle personnalité pour m’accompagner sur ma route personnelle, la vie a fait que nos chemins se sont croisés et qu'une véritable amitié s'est installée.  Immense bonheur...


Dans ce billet, je ne vous dévoilerai aucune scène, afin de garder la surprise de ce qui sera je pense un nouveau déclencheur de vocations pour de nombreux futurs pilotes...

 

 

Après avoir visionné ces belles scènes aériennes, comment ne pas être hyper-motivée pour passer une fois encore de l'image à la réalité et goûter à nouveau à mon tour à tout l’étonnement, voire l’émerveillement procuré par le vol.

Bienvenue à Hoéville
Bienvenue à Hoéville


Le retour à "Vol à Vue", ma base ULM à Hoéville (54), c'est toujours un moment de joie pure, une grande impatience mêlée aussi d'un peu de tension.

Parce que je reviens ici seulement une fois par an, et que je ne sait jamais trop ce que cela va donner au niveau météo, et ce que seront devenus mes acquis.

Une question demeure : cette année vais-je savoir encore faire voler mon joli "Falco" ?

Le premier vol de l'année
Le premier vol de l'année

Pour apaiser cette émotion-là, il y a heureusement  toujours à mes cotés Michel Flandin et sa sérénité.

Les minutes qui ont suivi le premier décollage, j'ai su que je savais... ;o)


C'était la première heure de vol de l'année, celle où l'on retrouve toutes les commandes, les gestes, les sensations, doucement, progressivement, presque instinctivement, en toute sécurité.

Et puis, sans s'en rendre compte, on cesse de  réfléchir pour se laisser bercer par la beauté de l'instant pour suivre la route d'un rayon de soleil qui s'allonge sur les champs multicolores. 

J’ai toujours prêté attention à ces choses, mais plus que jamais, dans mes trop rares moments dans le ciel, je prends le temps de capter consciemment la beauté tout autour de moi, de remplir mon cœur, mon esprit et mon corps avec tous ces cadeaux de couleurs et de lumière.


Carnet de  vol 2012 :

le 14 Mai (avec Michel) : 1 heure

 Total : 1 h


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